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24/12/2014

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Le plus grand sapin de Noël (et la plus grande crèche!) de Buenos Aires,
Place du Vatican, décembre 2014...

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25/07/2013

Le Palais des Eaux courantes, sous un ciel d'hiver...

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(Buenos Aires, Juillet 2013)

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Sur les façades aux fenêtres aveugles, brillent de nombreux motifs en céramique vitrifiée, commes les contours des fenêtres ou bien les blasons des différentes provinces argentines...

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Les posts se font à présent un peu plus rares. Saison basse...

C'est l'hiver à Buenos Aires, et le thermomètre n'hésite plus à descendre (la nuit) en dessous des cinq degrés !

C'est l'occasion rêvée de douillettement recevoir à la maison, ou bien de parcourir de nombreuses et passionnantes expositions.

On prend aussi parfois un peu l'air comme pour, par exemple, découvrir ce monument emblématique de la ville : le Palais des eaux courantes.

Il doit son nom à l'usage qui lui fût à l'origine affecté : cette construction de style "éclectique", bâtie entre 1887 et 1894, n'est en effet rien de moins qu'une immense citerne qui alimentait en eau la capitale dès la fin du 19ème siècle.

Dans ce quadrilatère d'environ 100 mètres de côté et plus de 20 mètres de hauteur (avec des murs de près de 2 mètres d'épaisseur) était stocké  jusqu'à 72 000 m3 d'eau, soit l'équivalent d'environ 30 piscines olympiques.

Une gageure technique pour l'époque !

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Le blason (ou bien l'écu) officiel de la république argentine date de 1813 (ci-dessus)

Il reprend les codes d'un modèle Jacobin de l'époque de la Révolution Française, avec pique et bonnet phrygien (ci-dessous)

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(Buenos Aires, Juillet 2013)

12/02/2013

Mi amiga Mafalda

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Au coin des rues Chile y Defensa à San Telmo

(Buenos Aires, février 2013)

Mafalda est Argentine, et c'est ici une star ! Elle a cette année mon âge...

Petite fille espiègle au caractère bien trempé, elle a pendant une décennie (entre 1963 et 1973), proposé au lecteur sa vision d'un monde dont elle ne cessait de pointer les absurdités.

Son papa, l'Argentin Quino (de son vrai nom Joaquín Salvador Lavado) à d'ailleurs choisi de s'exiler en Italie à l'arrivée de la dictature, en 1976 : son humour n'aurait surement pas été du goût des généraux... 

L'anticonformiste de Mafalda, son franc-parler, et parfois même son culot, étaient largement mis en relief par ses copains et les adultes qui l'entouraient, tous plus caricaturaux les uns que les autres : du petit capitaliste Manolito au rêveur Felipe, de sa copine Susanita (s'autoproclamant indépendante mais déjà soumise à son futur mari) en passant par ses parents ou sa maîtresse d'école, tous les personnages étaient prétexte à dresser un portrait acide et parfois désabusé de la societé argentine de ces années-là !

19/01/2013

La colonne de Persépolis

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En rentrant l'autre jour à pied du Barrio Chino, j'ai découvert à Palermo (dans un coin ou les touristes se font rares) cette réplique d'une colonne de l'Apadana (la "salle d'audience") que Darius Ier avait fait construire pour sa capitale Persépolis.

Cette réplique est semble-t'il un cadeau fait par le Shah d'Iran à l'occasion d'un voyage officiel.

Des 72 colonnes originelles de près de 20 mètres de hauteur qui soutenaient le toit de l'Apadana, peu ont survécu à la destruction de la capitale achéménide par Alexandre le Grand en 331 av.JC.

Le Louvre conserve un de ces rares et merveilleux chapiteaux de marbre gris qui m'avait tant impresionné il y a quelques années...

L'Apadana était, avec le Palais des 100 colonnes (la salle du trône), l'une des deux constructions monumentales de Persépolis ; elle pouvait abriter jusqu'à 10000 personnes !


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(Buenos Aires, Janvier 2013)

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(Où l'on remarque que la réplique est "approximative"...)

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Un de ces sublimes chapiteaux se trouve au Louvre.

Ci-dessous, la version colorée, car on oublie trop souvent que les édifices de l'antiquité étaient généralement entièrement peints (à l'instar des temples égyptiens) de couleurs très vives !

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19/10/2012

Le promeneur de chiens

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(Buenos Aires, septembre / octobre 2012)

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Si promeneur de chiens est semble t'il une profession qui se developpe beaucoup dans les métropoles d'Amérique du Nord, nous n'en avons encore à Paris que de rares exemples.

Ici, à Buenos Aires (surtout, il faut bien l'avouer, dans les quartiers les plus huppés) la pratique est en plein boom, et il ne se passe pas une journée sans que je vois passer ces étranges attelages.

Etrange parce que d'une tenue irréprochable : ces chiens que le promeneur est allé chercher un par un au bas de leur immeuble se comportent en groupe de façon exemplaire ; pas de tiraillement sur les laisses, aucun aboiement et jamais d'agressivité !

C'est une petite meute dont le "promeneur" est un leader qui sait se faire respecter...

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(Buenos Aires, septembre / octobre 2012)

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04/10/2012

Batterie un jour...

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(Buenos Aires, 30 septembre 2012)


Calle Florida, juste en bas de mon appartement provisoire, j'ai découvert l'autre soir Esteban Sebastian Zoppi, ses vingt ans et sa batterie de pots de peinture en plastique.

J'ai découvert plus tard, sur le net, une vidéo du jeune homme prise dans cette même rue pietonne, ainsi qu'une autre de son passage dans l'émission Talento Argentino (l'Incroyable talent local) dont le succés fut malheureusement mitigé....


 

16/09/2012

La Plaza Dorrego

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(Plaza Dorrego, Buenos Aires, septembre 2012)

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La Plaza Dorrego est le coeur de San Telmo, principal quartier résidentiel de Buenos Aires au 19ème siècle.

La place, qui s'appela un temps Hueco del Alto (le coin de la halte) et dont histoire remonte sans doute aux origines de la ville est, avec l'ensemble des rues qui l'entoure, classée Monument historique.

Les terrasses des cafés et des bars qui, en semaine, proposent des bals et des exhibitions de tango, cèdent leur place tous les dimanches (depuis les années 70) aux stands des antiquaires et à d'autres étals de curiosités. C'est la fameuse féria de San Telmo, incontournable sortie qui attire des milliers de Porteños (les habitants de buenos Aires) et de touristes.

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Il semblerait que tous les "siphons à soda" de Buenos Aires se soient donnés le mot pour se retrouver au Marché Dorrégo ! Cela ravit autant les touristes en quête d'un sympathique souvenir que les photographes...

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(Vous pouvez cliquer sur les images pour obtenir un plus grand format)

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La Féria organisée par le Museo de la Ciudad, offre, sur la Place Dorrego même, la part belle aux "vrais" antiquaires : on y trouve, de l’argenterie, du cristal, de la porcelaine, des livres, des cartes postales anciennes, quelques meubles et des objets en tout genre.

En s'éloignant de la Place et en remontant sur la Calle Defensa sur plus d'un kilomètre, on retrouve alors les mêmes stands que dans de nombreux autres quartiers de la ville, avec leur lot d'artisanat (en tissus, en bois ou en cuir) de bijoux fantaisie et autres bibelots divers...

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Une procession passait par là ; sono à fond et tenues de rigueur...

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Calle de la Defensa

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(Buenos Aires, septembre 2012)

14/09/2012

Le vendeur de "plumero" de la place Dorrego

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(Plaza Dorrego, septembre 2012)

11/09/2012

Nouvel An juif et Justin fever !

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En me promenant dans Palermo, je suis tombé ce WE sur une "kermesse" organisée à l'occasion du Nouvel an juif. On trouvait de l'artisanat, du vin, de la cuisine et de la littérature, mais aussi des ateliers de dessin pour enfants, des espaces de réflexion et un tas d'artistes : caricaturistes, chanteurs ou musiciens...

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Le comble du kitch : les kipas tricotées aux couleurs de club de foot de la ville ou celles du drapeau argentin !

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J'ai vraiment été agréablement surpris par le côté festif (leur mot d'ordre était d'ailleurs "Ser judio es una fiesta" : "Etre juif est une fête) de la manifestation, et personnellement trouvé cette communication originale et interactive...

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Sur le chemin du retour, en passant pas très loin de l'Obélisque, j'y ai trouvé une foule compacte d'où sortait un immense brouhaha. J'ai d'abord cru à un meeting "contre quelque chose", mais je me suis vite rendu compte qu'il y avait là beaucoup trop d'adolescentes !

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Et pour cause, c'était seulement une manifestation "d'amour" organisée par le fan-club de Justin, où chacune pouvait dépenser avec bonheur quelques pesos pour un mug, un pins, un tee-shirt ou bien encore un coussin à l'effigie de son idole !!!

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(Buenos Aires, 09 juillet 2012)