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27/09/2015

Plage de Waikiki, Honolulu, île ďO'Ahu

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Honolulu, 26 septembre 2015

22/09/2015

Et puis une autre plage ; á Hawaï...

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21 septembre 2015

21/09/2015

Tortue Marine, Maui, archipel d'Hawaï

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 20 septembre 2015

18/09/2015

Île de Maui, Hawaï

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17 septembre 2015

 

17/09/2015

Kauai, Hawaï

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16 septembre 2015

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15/09/2015

Waimea Grand Canyon, Kauai, Hawaï

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14 septembre 2015

12/09/2015

Au bout d'un monde...

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Je m'en vais de ce pas, tel un enfant émoustillé, fouler quelques lointaines plages qui n'ont à voir ni avec l'Argentine ni même avec le sous-continent !

Je ne sais pas si j'en ferai des posts, mais sans nul doute que je reviendrai avec moult photos.

Besos, et à bientôt...

11/09/2015

La "Floralis generica" s'épanouit de nouveau

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La "Floralis generica"

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J'avais écrit un post (ici, en 2012) sur cette superbe sculpture de plus de 20 mètres de hauteur) réalisée en 2002 et censée s'ouvrir et se fermer au rythme du soleil.

Dans la réalité, et au moins depuis septembre 2012, la fleur restait ouverte jour et nuit, suite à un problème mécanique.

Il aura fallu de longues années (et les moyens d'un généreux donateur, le distributeur de courrier privé "OCA" pour ne pas le citer) pour qu'enfin la "Floralis Generica", oeuvre de l'Argentin Eduardo Catalano, puisse de nouveau (depuis le 10 juin dernier) s’épanouir presque chaque jour.

Je dit presque, car quand les vents sont vraiment contraires, les pétales restent clos...

Plusieurs fois cet hiver (eh oui! c'est l'hiver de ce côté du globe), je suis donc retourné assister à l'endormissement de la belle ; en vain, celle-ci restant, au crépuscule, ou bien ouverte ou bien fermée de toute la journée.

Ce n'est que le WE dernier que j'ai enfin pu assister, de visu, à la métamorphose. Je m'étais préparé à vous en faire un petit film, tellement je m'attendais que tout allait se passer dans d’intenses grincements de machinerie !

Il n'en a rien été, à ma grande surprise, et je ne sais toujours pas quand cela à vraiment commencé ! Les pétales se sont fermés en plusieurs minutes (10, 20, je ne sais pas), sans aucun bruit ni aucun à-coup : elle était ouverte, et close l'instant d'après ! Je n'ai pas encore bien compris comment...

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Septembre 2015

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Et si les vents sont contraires, la belle restera close tout le jour !

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04/09/2015

Le Musée historique national

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Le Musée historique national, septembre 2015

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La première salle balaye rapidement plus de 2000 ans d'histoire...

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Une partie du musée est consacrée à la présence des jésuites et leurs diverses réalisations

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A gauche, tableau de l’École Cusqueña

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Le Musée historique national, septembre 2015

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Le Musée historique national se situe tout au bout de la Calle Defensa qui, après avoir traversé du nord au sud les quartiers de Monserrat et de San Telmo, fini sa course aux frontières de La Boca.

Ce musée, à la scénographie plutôt réussie, est consacré comme son nom l'indique à l'histoire du pays, bien qu'on y découvre surtout des objets en relation avec la Révolution de Mai et la guerre d'indépendance qui s'ensuivit.

Le musée d'origine ("Musée historique de la capitale") fut créé en 1889 et trouva place en divers endroits de Buenos Aires. D'abord Calle Esmeralda, puis Calle Moreno et enfin aux abords de l'actuel Jardin botanique.

Suite à de nombreux legs, les collections prirent vite de l'importance et finirent par largement dépasser, d'un point de vue symbolique, le simple cadre "municipal" initial ; le musée devint alors rapidement "national".

C'est à cette même époque (en 1894) que la ville de Buenos Aires racheta (à prix d'ami) le domaine de la famille Lezama (voir post précédent) dont le parc (après avoir été transformé par l'incontournable Charles Thays) devint public selon les vœux du vendeur. La luxueuse demeure allait quant à elle accueillir dès 1897 le Musée historique national.

Même s'il est évoqué dans quelques-unes des salles la période antérieure à 1810, les collections sont pourtant dans l'ensemble dédiées à d'illustres militaires de la période révolutionnaire à travers des armes, des tenues, des étendards, des tableaux, des meubles et bien d'autres souvenirs leur ayant bien souvent appartenu.

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Cornes à poudre, éperons et bolas (ces dernières, liens en cuir dont les extrémité sont garnies de cailloux sont encore utilisées par les gauchos pour immobiliser les bovins)

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Le Musée historique national, septembre 2015

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L'étui du sabre de San Martin

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Avant d’accéder au "sabre" de San Martin, le visiteur doit traverser cette pièce d'un esprit résolument solennel où sont exposés dans chacune des vitrines le sabre et le pistolet d'un célèbre général !

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Le clou du spectacle reste bien évidemment la découverte ultra scénarisée du sabre du Général San Martin, véritable trésor national au yeux des Argentins.

Ce sabre, volé au musée en 1963, après de nombreuses autres péripéties, coulait des jours heureux à Palermo au fond d'un coffre du Régiment des grenadiers à cheval (un bataillon justement formé par San Martin en 1812).

Dans un désir de rendre cette relique au peuple (et sans aucune arrière pensée politique bien entendu) la Présidente avait décidé de son retour au musée à l'occasion de la dernière célébration de la Révolution de son mandat.

Après une procession militaire et télévisuelle du plus bel effet le 27 mai dernier, le sabre traversait Buenos Aires du nord au sud avec un arrêt obligé au Mausolée de San Martin (qui se trouve dans la Cathédrale, Place de Mai), histoire que l'Archevêque Poli, successeur du Pape François, le bénisse copieusement.

Une fois arrivée au musée, c'est Cristina Kirchner en personne (tel Mitterrand et sa rose au Panthéon) qui s'est chargée de conduire et de placer la vénérée relique dans sa vitrine blindée, gardée depuis par deux grenadiers en habit. 

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Le sabre du Général San Martin

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Le vitrail au plafond de la salle, avec au centre... le Général San Martin !

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Le Musée historique national, septembre 2015

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