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28/02/2013

Le marché couvert de San Telmo

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(Marché couvert de San Telmo, Buenos Aires, octobre 2012)

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L'une des cinq entrées du marché : celle se situant sur la Calle Defensa

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(Marché couvert de San Telmo, Buenos Aires, octobre 2012)

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Le café "Martita"

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J'aime définitivement ce grand marché couvert qui se trouve en plein coeur de San Telmo et que, malheureusement, quelques touristes pressés oublient parfois de découvrir, tellement l'une des cinq entrées, celle située sur la "touristique" Calle Defensa, reste discrète. 

Cette grande halle (elle s'étale tout de même sur la moitié d'un pâté de maison !) a pour particularité de mélanger les genres. On y trouve bien sûr des antiquaires, dont la présence semble maintenant ici tellement naturelle, mais aussi plein d'autres petits commerces : fruits et légumes, fleurs, boucheries, ainsi que des petits bars-cafés-restaurants !

Quand il a ouvert ses portes comme ses façades l'attestent en 1897, ce marché était bien entendu destinés exclusivement à l'approvisionnement en produits frais des familles d'immigrés (en majorité italiennes) qui vivaient alors dans le quartier...


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(Marché couvert de San Telmo, Buenos Aires, octobre 2012)

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(Marché couvert de San Telmo, Buenos Aires, octobre 2012)

23/02/2013

Le quartier de San Telmo

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Autour de la rue Balcarse,  San Telmo rend hommage à des personnages de BD argentins. Mis à part Mafalda, ce sont encore pour moi d'illustres inconnus !

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(San Telmo, Buenos Aires, février 2013)

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Si les antiquaires envahissent la Place Dorrego le dimanche (voir ICI), on peut, le reste de la semaine, s'attarder longuement en terrasse et profiter, pourquoi pas, d'une petite démonstration de tango !

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Il aura fallu plus d'un siècle pour achever la construction de l'Eglise de San Pedro Telmo (pour plus de précisions, et pour ceux que cela intéresse, je vous redirige vers l'excellent site du Petit Hergé...)

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Une galerie d'antiquaire sur la Calle Defensa

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San Telmo est un quartier populaire et où les bureaux sont rares. Si quelques "bobos" ont choisi de s'y installer, ils ne sont pourtant pas représentatifs d’une population plutôt issue des classes moyennes et mâtinée de quelques marginaux. Ces derniers confèrent d'ailleurs au quartier une image un peu ternie quant à la sécurité,  surtout  le soir venu…

Ce barrio a en fait deux visages : très tranquille et plutôt désert du lundi au samedi (comparé au Centro !), il s’anime, parfois jusqu’à l’excès, le dimanche en fin de matinée, quand les touristes (mais aussi les Porteños) envahissent en nombre la Calle Defensa, la Plazza Dorrego et quelques rues adjacentes.

Selon que l’on aime ou pas la foule, il faudra donc judicieusement choisir le jour de sa visite, au risque d'être déçu. Sachez tout de même qu’il n’y a que le dimanche où les terrasses de la place Dorrego laissent place au antiquaires, que la rue Defensa (piétonne à l'occasion) accueille sur deux kilomètres des dizaines de stands divers, et que tous les bars restaurants sont assurés d’être ouverts…

Ce qui fait bien sûr le charme de San Telmo, en-dehors de cette feria du dimanche, c’est bien évidemment son architecture qui nous raconte deux siècles d’histoire...

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Comme vous avez pu le découvrir ICI, Buenos Aires s’est développée durant plus de deux siècles, et de façon concentrique, autour de son Fort et de la Place de la Victoire (la Casa Rosada et Place de Mai d'aujourd'hui). A la fin du 18ème, San Telmo était un quartier un peu "en dehors de la ville" qui accueillait les familles les plus aisées.

Quand la fièvre jaune refit son apparition en 1871 (il y avait déjà eu deux précédentes épidémies dans les années 50), nombre d'habitants quittèrent alors le barrio pour aller s’installer plus au nord, vers le couvent de Recoleta...

Cette année là, la terrible épidémie fit plus de 14 000 victimes, soit environ 10% de la population de la cité ! Les plus pauvres prirent alors possession des lieux, se partageant à plusieurs familles l'espace désormais vacant de ces grandes maisons bourgeoises.

A la fin du 19ème, mais surtout les premières années du 20ème siècle, alors que les quartiers qui correspondent à ce que l’on nomme communément aujourd'hui le micro-centro se modernisaient à marche forcée, San Telmo sombrait tranquillement dans une douce léthargie : c’est la raison pour laquelle on trouve encore dans ici tant de demeures coloniales bordant les rues pavées…

Depuis une dizaine d’années, les réhabilitations se multiplient et de nombreux bâtiments se voient transformer en galerie d'art ou en restaurant. Il reste encore néanmoins beaucoup de demeures à sauver de la ruine, un pari qui se révèle difficile en cette période de crise...  

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 Construit à l'origine pour la famille Ezeiza à la fin du 19ème, cet hôtel particulier fut, après l'épidémie de fièvre jaune, habité par de nombreuses familles pauvres d'émigrants. Il abrite aujourd'hui des boutiques d'antiquaires...

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(San Telmo, Buenos Aires, février 2013)

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D'une architecture typique de Buenos Aires au 19ème siècle, cette ancienne résidence est  aujourd'hui reconvertie en galerie marchande...

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Le quartier est "par tradition" assez largement "taggé" !

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Un antiquaire sur la Calle Defensa,  spécialiste du mobilier des années 40 à 60...

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Une énième galerie d'antiquaires...

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Le Café Dorrego, à l'angle de la place éponyme

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(San Telmo, Buenos Aires, février 2013)

20/02/2013

Le dessous des cartes

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Buenos Aires en 1536 (au moment de sa fondation) et, seulement pour comparer, Paris à peu près à la même époque, (avec une carte de 1550)

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Deux siècles après sa fondation (nous sommes en 1746) la ville s'étend doucement autour de son fort (où se situe aujourd'hui la Casa Rosada, le siège du Gouvernement) et la Grande Place (future Place de la Victoire et actuelle Place de Mai)

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En 1800, le quartier de San Telmo commence à poindre le bout de son nez, mais rares sont les porteños à élire domicile sur Recoleta...

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En 1870 , la ville s'est étendue sur l'est (au nord sur la carte). Le centre en est toujours le Fort et la Place de Mai. (En rouge : la ville de 1746 ; en bleu, celle de 1800). La ville ne possède toujours pas de port digne de ce nom...

 

Je pense qu'en découvrant ces cartes anciennes de Buenos Aires, on comprend mieux l'évolution de la petite colonie fondée par Pedro de Mendoza en 1536 : assez lente durant près de deux siècles et demi , puis fulgurante à partir de la fin du 19ème siècle.

Il suffit d'ailleurs de scinder en deux les 477 années qui nous séparent de l'arrivée des premiers colons espagnols pour mieux comprendre cette histoire :

Les 244 premières années furent celles d'un développement plutôt pépère, Buenos Aires n'étant qu'un pion parmi tant d'autres de l'immense vice-royauté du Pérou qui gérait, au nom de la couronne espagnole, la presque totalité du continent sud-américain.

Devant les difficultés inhérentes à la gestion de si vastes provinces, le roi d'Espagne dut se résoudre en 1776 à la création de deux nouvelles vice-royauté, dont celle du Rio de la Plata ; les prérogatives de cette dernière s'étendait alors sur la majeure partie des actuels territoires de l'Argentine, du Chili, de la Bolivie, du Paragay et de l'Uruguay...

C'est en devenant, in facto, et il y a seulement 233 ans, la capitale de cette nouvelle entité, que Buenos Aires va connaître sa première expansion significative.

Malgré tout, en 1850, la population totale du pays peine encore à dépasser le million ! C'est bien peu d'habitants pour une jeune République qui se cherche une place au concert des nations...

Une décision va donc avoir une importance décisive : celle de la mise en place, à partir des années 1860, d'une politique d'immigration "européenne" réellement incitative : rien qu'entre 1880 et 1910, ce ne sont pas moins de 4 millions d'immigrés (en grande majorité Italiens et Espagnol), qui vont débarquer sur les rives de la Plata ; à cette époque les étrangers vont jusqu'à représenter 30% de la population totale.

C'est en réalité grâce à cette émigration massive que la capitale prendra alors son véritable envol.

En 1914, Buenos Aires comptait déjà 1,5 millions d'habitants !

Cent ans plus tard, la mégaplole et ses 15 millions d'habitants est au 19ème rang des villes les plus peuplées au monde...

 

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En 1895, la ville se développe de façon exponentielle. On apperçoit enfin le nouveau port (l'actuel Puerto Madero) qui n'existait pas 25 ans plus tôt !
En rouge, on découvre l'Avenida de mayo, percée entre 1888 et 1894 !

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En 1900, la ville a continué de croître ; De nouveaux quartiers se développent, tels Palermo, Belgrano et Almagro...

16/02/2013

L'Ambassade de France à Buenos Aires

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L'Ambassade de France à Buenos Aires (Le Palais Ortiz), vue depuis le 11ème étage de l'hôtel Four Seasons.

Au milieu de la longue (et large !) Avenue du 9 Juillet, on apperçoit l'Obélisque...

(16 février 2013)

 

PS : Pour en savoir un peu plus sur l'Ambassade de France, clicquez sur ce lien...


15/02/2013

Carte interactive de Buenos Aires : 1892 / aujourd'hui !

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Je suis tombé par hasard sur cette carte interactive de Buenos aires qui superpose le plan de la ville de l'époque (1892) sur une vue satellite de la mégapole d'aujourd'hui !

On peut s'y déplacer à l'envie et découvrir, entre autre, que le Puerto Nuevo, l'aéroport Newberry et la réserve écologique ont été gagné sur le Rio, que les stades de River Plate ou de La Boca n'existaient pas encore et que le quartier de Palermo s'appellait  "Villa Alvear"...


Buenos Aires 1892 : carte interactive


12/02/2013

Mi amiga Mafalda

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Au coin des rues Chile y Defensa à San Telmo

(Buenos Aires, février 2013)

Mafalda est Argentine, et c'est ici une star ! Elle a cette année mon âge...

Petite fille espiègle au caractère bien trempé, elle a pendant une décennie (entre 1963 et 1973), proposé au lecteur sa vision d'un monde dont elle ne cessait de pointer les absurdités.

Son papa, l'Argentin Quino (de son vrai nom Joaquín Salvador Lavado) à d'ailleurs choisi de s'exiler en Italie à l'arrivée de la dictature, en 1976 : son humour n'aurait surement pas été du goût des généraux... 

L'anticonformiste de Mafalda, son franc-parler, et parfois même son culot, étaient largement mis en relief par ses copains et les adultes qui l'entouraient, tous plus caricaturaux les uns que les autres : du petit capitaliste Manolito au rêveur Felipe, de sa copine Susanita (s'autoproclamant indépendante mais déjà soumise à son futur mari) en passant par ses parents ou sa maîtresse d'école, tous les personnages étaient prétexte à dresser un portrait acide et parfois désabusé de la societé argentine de ces années-là !

09/02/2013

Enfin un peu de chocolat noir !

Le Chocolat noir n'existe pas en argentine ! Et c'est vraiment pas ma veine car j'en raffole ; voilà plus de cinq mois que j'étais en manque !

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Du bon chocolat est pourtant fabriqué dans l'ouest de la Patagonie, et des villes comme San Carlos de Bariloche (où vivent de nombreux descendants de colons Suisses) s'en sont même fait une spécialité. Malheureusement, ils en sont restés au chocolat au lait ou, pire encore (de mon point de vue), au chocolat blanc, chargé de trop de graisse et de sucre !

Afin de déguster quelques carrés de "noir" intense à plus de 70% , parfumé pourquoi pas d'un peu de fleur de sel, il vous faudra donc attendre patiemment la visite de quelques amis (très) prévenants...

Perso, j'ai reçu ce week-end ces 48 tablettes, de quoi tenir plusieurs mois !

J'ai par ailleurs eu droit à plein d'autres surprises, comme par exemple du fromage de chèvre (Sainte-Maure fermier et autre Crottin de Chavignol (encore une de mes drogues) dont l'entrée en Argentine est limite tolérée, ainsi qu'un peu de rillettes et de foie gras !

Un grand merci à M et PY d'avoir osé braver les douanes ;)


Mea culpa : sur ce coup là, c'est moi qui suis "chocolat" !

V'là t'y pas que ces mêmes amis qui viennent de m'apporter toutes ces plaquettes découvrent dans la même journée, à Buenos Aires, deux magasins dédiés au chocolat Lindt (de l'exclusif comme sait très bien le faire monsieur nespresso).

Il faut dire que ces points de vente hyper branchés se situent dans des galleries marchandes hyper friquées (entre les vitrines Armani, Guess et autre D&G) que je fréquente guère.

Plus généralement d'ailleurs les malls m'insupportent...

A près de 50 pesos la tablette (environ 6 euros), c'est quand même au moins 3 fois plus cher qu'en France, mais c'est tellement "so" chic de trouver son "noir intense" ailleurs que dans un banal supermarché...

Je vais à présent me mettre en quête d'un showroom Amora, moi qui adore la moutarde forte ; peut être du côté de Zara !

07/02/2013

Un dimanche à Tigre

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La gare "terminus" de Tigre

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Embouteillages les jours d'affluence !

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Un dimanche au bord de l'eau...

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(Tigre, février 2013)

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Si l'Argentine et l'Uruguay se partagent les eaux de l'estuaire du Rio de la Plata (le fleuve d'argent !), le Delta de Paraná est lui principalement du côté argentin.


Tigre (prononcer "tigré") est l'une des destinations favorites des Porteños durant le week-end. Il faut dire qu'à 1,80 pesos (30 cents !!!) les 28 km qui relient en 1 heure la gare centrale de Retiro à cette ville insulaire, c'est une sortie vraiment accessible à tous, ...tout au moins pour s'y rendre.

Car une fois sur place, il vous faudra bien sûr dépenser un peu vos pesos en fonction des activités que vous aurez choisi...

Si certains se contentent juste d'apporter une glacière et mangent au bord de l'eau, la plupart des visiteurs qui se déplacent jusqu'ici recherchent autre chose. Ils pourraient être classés en quatre grandes familles :

-  Ceux d'abord qui choisissent de faire une croisière le long des rios du delta ; pour une heure, pour trois heures, pour toute une journée (déjeuner compris), voire pour le WE entier avec une nuit à hôtel ou en chambre d'hôtes : De très nombreux kiosques le long des quais proposent toutes sortes de combinaisons possibles...

- Il y en a d'autres qui préfèrent les sensations fortes et opteront pour les attractions  (grand-huit, grande roue et autres manèges classiques) du "Parque de la Costa"

- Les plus sportifs et avides d'aventure se mettront, eux, en quête d'un club nautique qui leur proposera des sorties en barques ou en Kayak (généralement accompagnés) dans le dédale des cours d'eau.

- Enfin pour les derniers, il reste le shopping, avec une offre pléthorique de magasins (plusieurs centaines) dont une grande partie ont pour thème l'ameublement et la décoration de la maison. Mais on trouve aussi des produits régionaux, des animaleries, de la confection... et mille autres choses...

On peut bien sûr combiner ces différentes occupations en y ajoutant, pourquoi pas, un déjeuner sur une terrasse au bord de l'eau, la visite d'un musée et même une virée au casino !


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L'entrée du Parc d'attraction de la Costa (dont le forfait le plus complet est à environ 20 euros)

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Le bateau, version cool ou bien plus "remuante" !

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Un musée dédié au Maté, cette infusion traditionnelle du sud du continent, qui est en Argentine une véritable institution : Je vous en parlerai dans un prochain post...

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Les jours de grand rush, les plus petites des embarcations sont sacrément secouées !

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Trois docks forment le "Puerto de Frutos" (le port des fruits), où se concentre l'essentiel des magasins et des restaurants.

Les embarcations qui se trouvent ici à quai sont affectées au transport des materiaux et des vivres destinés aux centaines de propriétés qui se cachent (très discrètement, pour certaines) dans les méandres du delta...

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(Tigre, février 2013)

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Près de 30 clubs de régates, dont certains fondés par des Français, des Belges, des Italiens, des Suisses, des Scandinaves ou des Américains au tout début du XXème siècle, égrennent leurs originales silhouettes le long des berges...

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Il manque bien évidemment ici quelques photos de ce fameux Delta de Paraná (et des parfois sompteuses propriétes qui en bordent les rios) pour la bonne raison que je n'y suis pas allé... cette fois ci !

Mais ce n'est que partie remise :)

01/02/2013

Blog Argentine pat l'expat à Buenos aires

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